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Résumé :
Petit homme vert écrit des vers pour ne pas nourrir les vers.
En vert et vers !
Ce n’est vert de l’espoir
Que je veux faire croire
Avec ces mots, ces vers
En versant qui déversent,
Juste un poème de fin d’hiver
Et je m’accroche à mon lierre
Un récit bien vertueux
Quelques notes sur piano-à-queue !
Refrain :
C’est le printemps qui fleurit
Donne le vers à ma prairie
D’un vent, discours pesant sain
Aidé d’un large vérin
Et puis un chant du lointain
Que je garde en mon écrin !
De quelques mots avertis
Sur mon clavier Azerty
J’assume à ce vert désir
De voir la prose s’agrandir,
Cette moitié de verre vide
Plein de termes et phrases avides,
L’horizon est bien plus clair
De Versailles à Vaires
En Verdon près des Alpins
Et en Lorraine à Verdun !
Refrain
J’aère mon sol et ma terre
Tout comme le lombric, ce ver,
De montagne jusqu’en ombrage
Je me nourris de mon verbiage
J’en vois de toutes les couleurs
À en avaler des couleuvres,
Je suis un petit homme vert
Qui est entré dans l’hémisphère
En rapportant ces quelques vers
Juste un peu… rien que pour plaire !
Refrain
Rêve de Lignes 