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Résumé :
À Paris, la plus belle de toutes les tours.
La vieille dame
Elle naît en écho de Victor Hugo
De poésies et début d’autos,
Avec sa robe, la vieille dame
En Seine, un ticket, un sésame
Le monde entier est à ses pieds
Paris et elle en liberté,
Elle ne fait pas ses cent trente ans
Et même, elle a toutes ses « dents »
En mois d’année ou champ de Mars
Envers Province, a noué un pacte,
A connu le métro… et le pire
Courtisé Clémenceau, « le Tigre » !
Refrain :
Une musique et quatre pieds
En ballade, elle va danser
Une musique et quatre pieds
Deux accords même sans été
Une chanson d’éternité
En amour et en respect !
Copiée de petites jumelles sœurs
Elle en a jalousé un dictateur
De nos joies ou bien de nos peurs
Elle reste toujours la dame de cœur,
Puis aussi de moments de gloire
Couronnés de trophées, de victoires…
Quand je vais la voir, elle m’apprivoise
Moi, l’homme des campagnes, des vieilles ardoises,
Malgré son âge, elle est encore fière
En lumière, le soir… la dame de fer
Beaucoup de douceur dans ses yeux
Ma France de cœur, je suis heureux !
Elle sera à jamais la belle
Oui, ma plus belle… La Tour Eiffel !
Refrain :
Une musique et quatre pieds
En ballade, elle va danser
Une musique et quatre pieds
Deux accords même sans été
Une chanson d’éternité
En amour et en respect !
Rêve de Lignes 