
Catégorie :
Biographies et Autobiographies
Auteur :
Résumé :
Le confinement est tombé en ce vendredi 30 octobre 2020 une nouvelle fois pour lutter contre le COVID. Je vous invite à suivre mes réflexions au quotidien. Je vous partagerai aussi mes anecdotes de vie dans cette existence désormais quelque peu « sous cloche » pendant une période dirons-nous indéterminée… Venez lire ces petites tranches de vie ! Ce jour-ci, j’étais plutôt sérieuse, mais ne vous en faites pas, il y aura aussi de l’humour et de la créativité.
Note :
Réservé plutôt aux personnes de plus de quinze ans en raison du sujet COVID évoqué.
The french confinement
Jour 1 : Nous voilà repartis pour un tour !
« Nous voilà repartis pour un tour ! », comme dirait l’ancien qui est aussi mon voisin.
Je ne peux pas lui donner tort. Ceci n’est pas la première et peut-être pas la dernière fois que nous sommes amenés à vivre un tel changement de vie. Mais, au fond, il y a bien pire. Nous avons – pour la plupart d’entre nous – un toit, de la nourriture, des services de proximité. C’est de cela dont il faut nous réjouir et si nous nous y mettons tous, que nous tenons bon dans cette bataille contre l’invisible néfaste, oscillant alors entre vigilance et patience, nous pourrons à nouveau vivre pleinement, plus librement. Les personnes que ce fichu virus a emportées et continuera malheureusement d’emmener avec lui, ne doivent pas être oubliées, que ce soit des personnalités ou des anonymes. Ce sont des êtres comme nous tous. Certes, nous sommes en quelque sorte, en « guerre sanitaire » contre un virus redoutable qui nous traque à longueur de journée. N’empêche que cette fois-ci, nous avons la possibilité de vivre à peu près correctement. On peut sortir une heure par jour même sur les plages ou dans les parcs publics. On a le droit de travailler depuis chez nous ou ailleurs, et même d’aller à l’école, de continuer à s’instruire et avoir un minimum de vie sociale. Ce qui est le plus compliqué malgré ces autorisations, c’est sans doute d’être privé des siens durant une période de minimum quatre semaines.
J’ai une pensée particulière pour toutes les petites entreprises culturelles, libres, qui vont sans doute couler sans qu’elles n’y puissent quoi que ce soit.
Je pense notamment – moi qui adore lire et écrire – aux petites librairies indépendantes qui ne vendent pas de presse et qui, de ce fait, en seront largement pénalisées, si je peux le dire de cette manière tandis qu’elles étaient déjà victimes de la concurrence des grands au quotidien.
Chaque crise n’est pas bénéfique pour les sociétés indépendantes de toute façon ! Il faut voir ce confinement comme une sorte de défi à relever. Dans ce cas, il vaut mieux que nous soyons nombreux à rester en bonne santé pour construire le monde de demain. Car il en faudra des bras et des mains, mais aussi de la bonne volonté pour faire ensemble de ce monde, un monde meilleur !