Ton âme que je connais peu
doit, sans rien voir, couler dans un
océan sourd,
s’abîmer au-dessous de ceux,
ceux qui de mes pensées ont
arrêté le cours.
De ta souffrance je m’émeus.
la perte de celle qui
te donna le jour.
Penser ton chagrin je ne peux,
en moi le désespoir de
ne t’aimer d’amour.
La vie décide dans son jeu
qui elle prendra avec elle
pour toujours
en premier, vous laissant tous deux
et sans femme et sans mère
attendant votre tour.