Quelle femme !
Quelle femme ?
Quelle femme !
Elle n’a pas l’habitude, alors elle se prend pour sa sœur.
Elle n’est plus celle qui rougissait, apeurée à en pleurer.
Elle semble avoir laissé le malheur dormir.
Elle se réjouit même de la pluie.
Au matin, elle ne se lève plus subitement mais doucement.
Elle est persuadée qu’elle n’a jamais fait autrement.
Hier, au soir, elle a eu un pressentiment.
Une impression de changement.
Dans le reflet de son miroir, c’est son regard qui l’attirat.
Elle découvrit, là, dans ses yeux, une étincelle pétillante.
Elle avait seulement besoin de s’accompagner en chemin de ce joli mot oublié…
Ensemble…
L.
C’est tendre et joli mais j’aurais aimé un peu plus de développement à la fin. Merci et bravo.